Les droits de l’homme à géométrie variable : l’ONU et le conflit israélo-palestinien

Le porte-parole du Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a rappelé qu’en vertu du droit international, toute remise de dépouilles mortelles doit respecter l’interdiction des traitements cruels, inhumains ou dégradants, garantissant le respect de la dignité des défunts et de leurs familles.

Alors que Shiri Bibas n’est pas identifiée et que les terroristes du Hamas montrent leur inhumanité en se glorifiant des cercueils, Guterres conclut sa déclaration par un militantisme politique aussi lunaire que déplacé : « Le Secrétaire général appelle depuis longtemps à la libération de tous les otages, à un cessez-le-feu permanent et à des progrès irréversibles vers une solution à deux États ».

Le palestinisme fait de la création d’un état palestinien une cause suprême supérieure à toutes les autres. Et ce, même si les droits de l’homme les plus élémentaires sont bafoués.