Après avoir créé un odieux parallèle entre le Hamas et les décisionnaires de l’armée de Tsahal à travers une mise en accusation simultanée, le camp palestiniste mené par la CPI et l’ONU compte les renforts de différents rapports pour corroborer l’accusation judiciaire.
C’est ainsi que Amnesty International, Human Rights Watch et Médecins Sans Frontières rendent simultanément leurs rapports sur la situation à hashtag#Gaza pour accabler collectivement Israel de génocide.
Avant de discuter des arguments de fonds, maintes fois évoqués tout au long de l’année, intéressons-nous à cette communication synchronisée d’une main de maître qui prouve, en l’espèce, une volonté de lutter idéologiquement contre la légitimité de la défense de l’Etat hébreu.
Toute situation de paix ne peut que résulter d’un statut quo suffisamment long pour gagner la confiance des parties, statut quo rompu unilatéralement par le Hamas le 07 octobre qui a mis un terme à l’acheminement vers un état palestinien.
Le patinage artistique, c’est impressionnnant et chorégraphié, un peu comme l’argumentation surfaite de ceux qui n’ont pas compris que tout génocide présuppose une volonté acharnée de s’en prendre à des civils pour ce qu’ils sont.
Le spectacle de la désinformation synchronisé.
